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Phrases de perdants et de gagnants

15 phrases que disent les losers (et ceux qui réussissent)

David Lefèvre
David Lefèvre
David Lefèvre est un entrepreneur sur Internet depuis 2012. Il gagne sa vie grâce à l'affiliation, l'e-commerce, les services en ligne et les formations. Il a d'ailleurs lancé ses propres plateformes de services (BeFreelancr.com) et de formations (BeTeachr.com).

Sommaire

Aujourd’hui, c’est le 180ème article de ce blog, et j’ai envie d’écrire un article un peu léger, mais avec du sens. Dans cet article, je vais essayer de vous faire sourire, mais aussi de vous faire réfléchir à des situations qu’on a tous vécu, et aux réactions qu’on a eu. Parce que les réactions qu’on a font ce que nous sommes. Vous allez voir dans cet article 15 phrases que disent les losers, et on verra ensuite les phrases dites par les gens qui réussissent dans ce type de situation.

Mais avant toute chose, qu’est-ce qu’un loser ?

Avant de commencer cet article, il est bon de rappeler ce qu’est un loser. Nous avons tous notre propre définition du loser, et je vais vous donner la mienne. Pour moi, le loser est celui qui ne réussie pas dans la vie parce qu’il n’a pas d’ambition, parce qu’il ne prend pas ses responsabilités, parce qu’il est nostalgique de l’époque où il n’était pas encore né !

Le loser, c’est le gars (ou la fille), qui rentre de son boulot, qui prend sa bière, et qui va se gratter les couilles (non valable si c’est une fille) dans le canapé en regardant Le Juste Prix et en disant à sa femme : « Regarde la chance qui zont, i zont gagné la vitrine ! C’est pas à moi que ça arriverait ! » (mais qui ne passera jamais les sélections).

Les intellos à deux francs se moquent souvent des gens qui jouent aux jeux à la télé ou qui jouent au loto, mais au moins, ils tentent leurs chances, même si le loto n’est pas un investissement très rentable la plupart du temps ! Mais le loser, selon moi, c’est le Bidochon. Et il y a en a plus qu’on ne le croit. D’ailleurs, j’ai moi-même été un loser pendant longtemps, mais je m’efforce de ne plus l’être !

Pourquoi écrire cet article ?

Quand j’étais commercial quand j’avais 19 ans (j’ai commencé le MLM à 18 ans et j’ai ensuite bossé en tant que commercial à côté de mon activité de MLM), j’ai rencontré beaucoup de losers. J’ai moi-même parfois utilisé des phrases de losers pour me déculpabiliser lorsque je ne faisais pas de vente. C’est tellement facile, c’est tellement rassurant de se dire que ce n’est pas de notre faute.

Mais ces phrases sont des poisons. À cause de ces phrases, certains commerciaux ne travaillaient presque plus, et finissaient par se faire virer. Et 80 ou 90% des personnes présentent sur cette planète ont des comportements de losers. Ils pourraient tous avoir une vie meilleure, mais à cause de leur comportement, ils ne réussiront peut-être jamais.

J’ai eu la chance d’être rapidement formé au MLM (marketing multi-niveaux), où j’ai compris les différences entre ceux qui réussissent et les autres. Mais je sais que de nombreuses personnes n’ont pas encore eu cette « révélation ». Parce que quand on adopte ce comportement de perdant, on ne se rend pas compte qu’on se ferme des portes nous-même. Donc si cet article peut aider quelques personnes…

#1 – C’était mieux avant

Le loser vit dans le passé. La plupart du temps, il garde un très bon souvenir d’une époque et vit dans cette époque. J’ai un ami qui est hyper nostalgique, et du coup, ça l’empêche d’aller de l’avant, ça l’empêche d’avancer dans la vie, et vous savez pourquoi ? Parce qu’il veut toujours refaire les mêmes choses qu’ils faisaient avant (à l’époque), traîner avec les mêmes personnes, ressortir avec son ex, etc.

Parfois c’est pire, les nostalgiques disent que « c’était mieux avant » en parlant d’une époque qu’ils n’ont pas connu ! J’ai déjà entendu des jeunes de 20 ou 25 ans dire que les années 80 c’était mieux ! Les mecs : vous n’avez pas connu ces putains d’années 80, qu’est-ce que vous racontez ! Le truc, c’est que ces gens se sont fait une idée de ce qu’était la vie à cette époque, et l’ont idéalisée.

Il y avait des bonnes choses à cette époque, mais le mieux, ce sera l’avenir !

Je garde des très bons souvenir de l’année 2007. L’insouciance de mes 17 ans, 2 mois de vacances où je suis parti avec ma sœur et sa famille, puis avec mes parents, puis avec mon meilleur ami. J’ai eu plein de bonnes choses cette année là, mais je n’en suis pas nostalgique, pour deux raisons : je sais que je n’ai gardé que le meilleur ! J’ai totalement oublié les mauvais souvenir.

Et la deuxième raison, c’est que j’ai envie que le présent soit la meilleur époque de ma vie ! En gros, j’ai envie de m’écrire les meilleurs souvenir chaque jour, pour le jour où je devrais partir. Je n’ai pas envie d’être sur mon lit de mort en me disant : « Merde, c’était ça ma vie ? Je ne me rappelle que de 2007 ? ». J’ai envie que ma vie soit une fête, pas de rester sur de bons souvenirs.

#2 – C’est la crise

Aaaaah la fameuse crise ! Bon, j’avoue, cette phrase je l’ai dite quand j’étais commercial ! On était en 2009, et en effet c’était la crise (ce qui n’empêchait pas à l’animateur d’agence de faire 80’000 euros de chiffre d’affaires par mois). La plupart des commerciaux avaient beaucoup de mal à faire 20’000 euros de CA et répétaient cette phrase : « C’est la crise ».

Au fil du temps, à force d’entendre les gens dire cette phrase, j’ai fini par la dire aussi. Et puis j’ai pris conscience d’une chose : celui qui faisait 80’000 euros de ventes ne disait jamais cette phrase bizarrement ! Au début, je pensais qu’il ne disait pas cette phrase parce qu’il faisait du chiffre. Mais c’était l’inverse : il faisait du chiffre parce qu’il ne disait pas cette phrase !

Chaque crise a ses opportunités. Et l’essentiel, c’est ce qu’on a dans la tête, et ce qu’on renvoi aux gens.

À l’heure actuelle, c’est toujours la crise, mais il n’y a jamais eu autant de start-up révolutionnaires. Et dans les années 70 c’était pareil. La crise pétrolière a sévi, puis des sociétés comme Apple ou Microsoft ont vu le jour. Les crises fragilisent les entreprises qui n’ont pas su s’adapter. Les entreprises qui se sont reposé sur leurs lauriers (en général des grosses boîtes). Et ça permet à de nouvelles entreprises de faire leur place !

Et quelque soit la période, crise ou pas crise, l’essentiel c’est notre propre motivation et détermination à réussir. Si vous êtes motivé, si vous avez le sourire, ce sera contagieux. Un commercial qui arrive en se disant que c’est la crise ne vendra rien. Un commercial qui arrive avec un beau sourire et un produit dont il est fier vendra facilement. Tout est une question d’état d’esprit.

#3 – C’est de la faute du gouvernement, pays de merde !

Il m’arrive de critiquer le gouvernement ou la politique. Mais je le fais uniquement sur le blog, parce que des gens le voient. Je ne parle pas tellement de politique en famille, parce que ça n’a aucun intérêt. Celui qui rentre de son boulot en disant qu’il ne gagne pas assez à cause du gouvernement, ou qu’il fait trop froid à cause du président, trouve des problèmes et pas des solutions.

Sur mon blog, quand je critique quelque chose, je propose une solution derrière. Mais j’avoue, ça ne change pas grand chose d’écrire ce qu’on pense sur un blog, mais ça fait du bien ! J’entends beaucoup de personnes se plaindre de leur pays, mais sans jamais penser à partir. Comme s’ils étaient enfermé dans leur pays. Comme s’il n’y avait pas moyen de partir.

Je ne me reconnais plus dans ce pays, je vais tenter ma chance ailleurs.

Des millions de français vivent à l’étranger, et disent clairement qu’ils ne reviendront jamais. Ils ne critiquent pas la France, ils disent seulement qu’ils préfèrent leur vie dans leur nouveau pays. Souvent même, ils disent qu’ils aiment la France, et qu’ils ont du plaisir à venir voir leur famille. Mais le style de vie qu’ils ont choisi leur correspond plus.

Moi-même, j’ai le projet de partir à l’étranger d’ici quelques années. Je songe à l’Île Maurice (je vous dirais pourquoi dans un futur article). Je pense que c’est la meilleur solution quand on ne se reconnaît plus dans un pays. De mon côté, c’est plutôt un problème politique, où j’ai un peu de mal avec le communisme à la française et la haine de la réussite. Mais je préfère partir que de passer ma vie à dire « pays de merde ! ».

#4 – C’est de la faute des immigrés si je ne trouve pas de travail

Bon, je crois qu’on va aborder un point sensible donc je préfère être clair : vous pensez absolument ce que vous voulez sur l’immigration, s’il faut faire rentrer tout le monde, faire des quotas, fermer les frontières, etc. Ce n’est pas le sujet de l’article. C’est un sujet très compliqué où tout le monde donne son avis sans connaître des chiffres et les résultats de telle ou telle politique, donc je ne rentre pas dans le débat.

Je veux juste préciser que les immigrés ne volent pas le travail des français. Si un immigré sans papier vous vole votre travail alors qu’il ne parle pas la langue, qu’il n’a pas les bons diplômes, qu’il n’a pas d’expérience, pas de relations, dans ce cas, posez-vous les bonnes questions ! La plupart du temps, les immigrés qui viennent en France prennent des emplois que les français ne veulent pas faire, comme le nettoyage des rues.

Je vais demander l’avis d’un chef d’entreprise pour améliorer mon CV. Et je vais m’entraîner aux questions qu’on pourrait me poser en entretient.

Si vous êtes en recherche d’emploi, faites un joli CV, même s’il y a des trous ce n’est pas grave, tout le monde a des trous dans son CV, on n’est plus dans les trente glorieuses. Déposez votre CV partout, et surtout en agences d’intérim. Préparez vos entretiens et soignez votre look avant d’y aller. Et si vous êtes graphiste, webdesigner, développeur, rédacteur web ou encore community manager, contactez-nous !

Le meilleur ennemi du chercheur d’emploi, c’est lui-même. Quand je cherchais du travail, mon pire ennemi, c’était moi et mes baisses de motivation. Et bizarrement, dès que je me motivais un peu, je trouvais quelque chose. De l’intérim ou un CDD d’un mois, mais je trouvais ! Fixez-vous l’objectif de trouver avant la fin de la semaine !

#5 – Ce n’est pas de ma faute

On l’a vu, pour le loser, c’est toujours la faute des autres, jamais de la sienne bien entendu. La plupart du temps, il dira que c’est de la faute du gouvernement, des immigrés, du temps qu’il fait, de la crise, etc. Mais des fois, le loser n’aura pas d’inspiration et dira simplement : « C’est pas de ma faute ». On l’entend très souvent, on la dit parfois, et c’est vraiment une phrase à proscrire de notre langage.

Parce que cette phrase pue la défaite. Cette phrase montre qu’on n’assume pas ce qu’on fait. Cette phrase montre qu’on ne gère pas la situation. Beaucoup de personnes voudraient « monter en grade » mais prononcent toujours cette phrase. Et après, ils s’étonnent que leur supérieur ne les fasse pas monter dans la hiérarchie. Parfois même, ce sont les « petits chefs » qui disent cette phrase, et là c’est encore pire…

Je prends l’entière responsabilité (ou ma part de responsabilité, suivant si vous êtes responsable ou non) de cette erreur et je retiens la leçon. Maintenant, je vais trouver la solution pour régler le problème.

Quelle classe ! Quel panache ! Non seulement vous assumez votre erreur, mais en plus vous retenez la leçon (vous ne referez plus cette erreur), mais en plus en plus : vous allez trouver la solution. Avec ce genre de phrase, vous montrez à tout le monde que c’est vous le boss. Parce que faire des erreurs ça arrive à tout le monde.

Mais comme on dit, faute avouée à moitié pardonné. Et si derrière vous assurez que vous ne referez pas l’erreur, vous êtes pardonné totalement. Et si en plus de ça, vous corrigez l’erreur, vous en sortez grandi au niveau de votre expérience et au niveau de votre communication. Vous aurez appris de votre erreur, et les gens se diront que vous êtes l’homme ou la femme de la situation.

#6 – C’est ton problème (bon après, n’allez pas régler les pb de tout le monde)

On a parfois tendance à se décharger de toute responsabilité, en disant que ce n’est pas notre problème, que c’est pas à nous de nous occuper de ça. On dit ceci parfois au travail, parfois à la maison, et c’est à la fois un manque de respect vis à vis de l’autre personne qu’on ne veut pas aider, mais c’est aussi la preuve qu’on n’est pas un leader.

Le leader cherchera à régler le problème, même s’il n’est pas concerné directement. Attention : je ne vous dis pas de régler les problèmes de tout le monde. Réglez vos propres affaires avant de régler ceux des autres. Je ne vous dis pas non plus de régler le problème de A à A, mais plutôt d’apporter une solution à la personne. De débloquer la situation.

Voici ce que je te propose pour résoudre ce problème.

Là encore, une phrase classe. À la fois vous rassurez la personne en face, sans pour autant vous mettre en avant. Vous restez humble tout en trouvant la solution, et ça : c’est carrément la classe ! Imaginons que votre ami ait un problème de couple et que sa femme ne veuille pas entendre parler de votre ami. Conseillez à votre ami de laisser sa femme tranquille pendant deux ou trois jours, et proposez de l’appeler vous-même.

Appelez sa femme en essayant de comprendre la situation sans juger personne (vous n’êtes pas dans le couple). Valorisez la femme de votre ami en lui disant que vous l’appréciez et que ça peut arriver de traverser de mauvaises périodes (vous montrez que vous ne lui en voulez pas). Vous avez fait votre travail. Vous n’avez pas réglé le problème parce que ce n’est pas à vous de le faire. Mais vous avez fait votre part.

#7 – Je ne peux pas le faire

Alors souvent cette phrase est plutôt dite par des personnes qui n’ont pas confiance en elles. Ce ne sont pas vraiment des losers, juste des gens qui se voient eux-même comme des losers, qui se sous-estiment. Si vous êtes dans cette situation parfois (c’est normal, ça arrive à tout le monde), prenez confiance en vous. Pensez à toutes les choses que vous avez faite et dont vous êtes fier.

Parfois on met un peu de temps à retrouver des choses dont on est fier, mais notez-les sur un papier. Cet exercice peut paraître ridicule, mais quand vous allez lire la liste, vous allez vous dire : « Ah ouais, j’ai fait tout ça mine de rien ! ». Alors imaginez ce que vous feriez avec plus de confiance ! La chance sourit aux audacieux… et à ceux qui se sortent les doigts du cul !

Je peux le faire !

Quand IBM a demandé à Bill Gates s’il savait faire une interface graphique, il a répondu « oui ». En réalité, il ne savait pas du tout. Il s’est ensuite rapproché d’un développeur qui avait créé une interface graphique, et Windows est né. C’est le premier bluff de l’histoire de l’informatique. Et ce coup de bluff a rendu Bill Gates millionnaire, puis milliardaire. Aujourd’hui, c’est l’homme le plus riche du monde.

Si Bill Gates avait répondu : « Non, je ne peux pas le faire. » il serait passé à côté de plusieurs milliards de dollars. Dites toujours que vous pouvez le faire, si vous avez ENVIE de le faire. Si vous avez envie, vous réussirez à le faire. Parfois il faudra des compétences extérieures, comme pour l’histoire de Windows, mais vous réussirez si vous en avez l’envie.

#8 – Ce n’est pas juste

La fameuse phrase de Calimero et de Tifeuf ! Et la phrase de beaucoup de personnes qui se disent sans cesse victime d’injustice. C’est souvent une phrase dite par des salariés en parlant à leur responsable. Et c’est souvent une phrase dite aussi par les enfants en parlant à leurs parents. C’est aussi une phrase que disent certains chefs d’entreprise aux politiques.

Cette phrase est parfois légitime, mais la plupart du temps, c’est quand même une phrase de victime de la société ! De personnes qui subissent au lieu d’agir. Parce que si vous agissez, vous n’avez plus besoin de dire à longueur de journée que ce n’est pas juste ! Vous entendez souvent des grands chefs d’entreprise dire « C’est pô juste » ? Non pas vraiment !

Je vais trouver les solutions pour ne plus avoir ce genre de problème.

Vous trouvez que c’est injuste de payer autant d’impôts en France ou en Belgique ? Qu’est-ce qui vous empêche de vous installer dans un pays plus clément au niveau fiscal ? Vous trouvez que c’est injuste que votre patron gagne plus que vous ? Alors devenez votre propre patron ! Vous trouvez que c’est injuste que des gens « gagnent de l’argent à rien faire » ? Voici comment créer un business automatique (plus d’excuses).

Bien sûr il y a de vrais injustices dans ce monde. Mais la plupart du temps, ce que NOUS dénonçons comme injustices, sont des choses justes. Le patron qui gagne plus que ses salariés, c’est juste, parce qu’il a créé de la valeur, il a créé de la richesse, et il a créé de l’emploi. Celui qui gagne de l’argent « sans rien faire », c’est souvent parce qu’il a investi son temps et son argent pour créer un revenu passif.

#9 – Je n’ai pas de chance

La chance, on y croit ou non. Certaines personnes croient en leur bonne étoile, d’autres pensent que la chance n’existent pas. Pour ma part, je pense qu’il y a une part de hasard, donc de « chance ». Mais à chaque fois qu’on a de la chance, c’est qu’on l’a provoqué cette chance. Vous avez la chance d’avoir rencontré la personne que vous aimé. On pourrait penser que c’est juste de la chance.

Mais c’est surtout vous qui avez fait basculer la situation pour avoir cette chance. Je vais vous raconter comment se sont rencontré mes parents. Tous les deux étaient fans de patin à glace. Ils allaient souvent à la patinoire de Rouen. Et un jour, mon père a failli se gaufrer, et ma mère l’a rattrapé ! (Oui dans les films c’est l’inverse). Ils auraient pu prendre chacun leur chemin…

Je saisi les opportunités pour créer ma propre chance !

Au lieu de partir chacun de leur côté, mes parents ont commencé à discuter. Quelques mois plus tard, ma sœur aînée est née (elle est drôle cette phrase). 15 ans plus tard, je suis né. Comme quoi il y a une part de chance, puisque si mes parents ne s’étaient pas foncé dedans ET qu’ils n’avaient pas saisi cette opportunité, alors je ne serais pas né.

Il y a des millions d’autres circonstances qui font qu’on est né, et je pense que ce sera l’objet d’un article ou d’une vidéo. Mais dites-vous bien que vous avez de la chance d’être né. Vous aviez une chance sur plusieurs milliards ! Profitez de chaque opportunité pour créer votre propre chance. Et faites en sorte qu’à 126 ans, vous vous dites : « J’ai eu de la chance dans ma vie ! ».

#10 – Je n’ai pas le temps

On a déjà parlé de cette phrase quand on a parlé des objections en MLM ! Comme quoi elle revient souvent. Dans cet article, j’expliquais que beaucoup de personnes ne seraient pas capable de se libérer quelques heures par semaine, même si c’était pour se créer un revenu passif. La grande majorité des personnes ne pourraient pas se priver de regarder le journal de TF1 pendant 2 mois.

Même si on leur disait : « Dans 2 mois tu gagneras un bon complément de revenu tous les mois sans rien faire, à condition de louper le JT de TF1 » elles diraient qu’elles doivent se tenir informer de ce qui se passe dans le monde. Le lendemain elles auront oublié ce qui s’est passé la veille, elles se diront seulement que « les politiques c’est tous des pourris » et que « le monde devient fou ».

Si c’est vraiment important, je vais trouver du temps.

Ça c’est une phrase de quelqu’un qui réussi ! Les gens qui réussissent ont le sens des priorités. Ils savent que se créer un revenu passif n’est pas du temps perdu : c’est de l’argent gagné pour toute la vie. Ils savent qu’il faut rendre service aux autres quand on le peut, mais ne pas hésiter à demander une contrepartie, ou préciser à la personne qu’on aura peut-être besoin d’elle un jour.

Si vous êtes responsable dans une entreprise ou leader dans une société de MLM, vous devez toujours être disponible pour les personnes qui ont besoin de vous. Vous devez être à l’écoute. Comme on l’a vu tout à l’heure, vous n’êtes pas là pour régler tous les problèmes, et régler les problèmes dans leur intégralité. Vous êtes là pour apporter votre pierre à l’édifice, et aider les autres.

#11 – Je vais essayer

Quand j’ai commencé le MLM à 18 ans, j’ai dit cette phrase lors d’une session de formation. Aussitôt, le formateur m’a repris : « Non, tu ne vas pas essayer, tu vas le faire. Reformule ta phrase. » Les gens confiants (et les gens pour qui ont a de la confiance) ne disent jamais qu’ils vont essayer. Ils ne sont jamais hésitant, ils ne disent jamais : « Je vais tenter on verra bien ».

Les phrases comme « je vais essayer », montre que vous n’êtes pas sûr de vous. Ça montre que vous n’êtes pas en confiance. Du coup, les autres personnes ne vous feront pas confiance non plus. Vous savez, plus vous montrez que vous êtes confiant, plus les gens ont confiance en vous. Vous imaginez Napoléon en train de dire : « Bon, je sais pas trop, mais on va essayer de passer par là, on verra bien ».

Je vais le faire !

Tenez-vous droit, souriez, et dites : « Je vais le faire ». Vous avez nettement plus d’assurance que quand vous avez le dos courbé et que vous dites que vous allez essayer de tenter ! Et quand vous êtes sûr de vous, les gens sont sûr de vous. Mieux encore : ils vous admirent. On aime ou on n’aime pas Napoléon ou Charles de Gaulle, mais on les admire forcément un peu.

Leur charisme, il n’est pas naturel. Ils se sont entraîné pour ça. Ils se sont entraîné dans leurs manières d’être, mais aussi dans leur langage. Ils se sont habitué à utiliser les bons mots. Les mots qui rassurent. Les mots qui impactent. Les mots qui montrent que ce sont eux qui sont aux commandes, et qu’ils ont confiance en eux. Le charisme, ça se travail !

#12 – Oh non j’ai pas envie de me lever !

Qu’on soit clair : la très grande majorité des gens n’ont pas envie de se lever le matin, quand le réveil sonne et qu’ils aimeraient dormir encore une petite heure. Toutes ces personnes ne sont pas des losers bien entendu. Mais dans le lot, il y a des gens qui ne veulent pas se lever parce qu’ils n’aiment pas leur vie, la vie qu’ils ont pourtant choisi. Non ?

En fait, ces personnes n’ont pas vraiment choisi leur vie. Ils ont « fait comme tout le monde ». Le problème quand on fait comme tout le monde, c’est qu’on fini par avoir la même vie que tout le monde, le même revenu que tout le monde, la même absence de motivation à se lever le matin que tout le monde. Bref : à vouloir faire comme tout le monde on fini par avoir une vie de merde.

Aujourd’hui je fais un pas de plus vers le succès.

Cette phrase, je la répète 10 fois tous les matins pour me motiver. C’est un peu comme une mise en condition de mon cerveau (comme j’en parle ici). Je me motive à faire avancer mon business chaque jour. Et la plupart des gens qui ont réussi, sont en train de réussir ou veulent réussir, font ça : ils mettent leur cerveau en condition, ils le programmes.

Et si vous aimez ce que vous faites dans la vie, c’est encore plus facile, il n’y a presque pas besoin de programmer son cerveau. Si vous êtes passionné par ce que vous faites, vous serez motivé dès le réveil. Et encore plus motivé quand vous commencerez à avoir des résultats. Il y aura des jours où vous aurez des baisses de motivation, mais grâce à votre mise en condition quotidienne, vous aurez l’habitude d’être motivé !

#13 – J’en ai marre de ce travail

Cette phrase est dite par les mêmes personnes qui disent la phrase précédent : « J’ai pas envie de me lever ». Et par les mêmes personnes qui disent : « Vivement ce week-end ». Quand je vois tous les gens sur Facebook qui disent dès le lundi matin : « Pffff la semaine va être longue, vivement ce week-end », ça me fait de la peine. Ça doit être dur de subir sa propre vie comme ça.

Et en même temps, comme on le disait précédemment, ils pourraient avoir une autre vie. Mais ces gens n’acceptent pas de travailler plus pendant quelques mois pour ensuite avoir un revenu passif et pouvoir avoir la vie qu’ils veulent. Ils préfèrent se plaindre pendant 40 ans plutôt que se sacrifier pendant 2, 3 ou 6 mois en travaillant plus.

Mince il est déjà 11h30 ! Allez je finis vite ce que je suis en train de faire, et après j’arrête !

Bon, ok, c’est pas tous les jours comme ça ! Vous le savez si vous avez suivi ma formation sur l’efficacité, je finis souvent à midi. En ce moment, je travaille beaucoup parce que je suis sur différents projets, mais par la suite, je recommencerais à travailler aux horaires que je me serais fixé. Pas forcément travailler que le matin, mais travailler en fonction de ma vie, et pas vivre en fonction de mon travail.

Organisez-vous votre « vie idéale », et vous ne direz plus jamais « vivement le week-end » ! Bien sûr on peut avoir hâte d’être samedi, dimanche ou un autre jour quand on a prévu quelque chose de sympa. Mais il faut que ce soit parce qu’on a hâte d’être au week-end, pas parce qu’on a hâte de ne plus être en semaine… Vous voyez ce que je veux dire ?

#14 – C’est comme ça que ça doit être fait, pas autrement !

J’ai déjà donné des coups de main à des gens de ma famille pour des travaux dans leur maison, et plusieurs fois je donnais mon point de vue sur des façons de faire que je trouvais un peu stupide. Un exemple : mettre un tas de sable à 50 mètres de là où on fait la fondation en béton… Comment se bousiller la santé pour rien et être moins productif.

Et des exemples comme ça, vous en trouverez des milliers si vous réfléchissez aux différents métiers que vous avez fait. Mais comme des générations ont fait ça avant, les gens continuent de faire la même chose. Même si ça leur coûte plus cher, même si c’est moins efficace, même si ça bousille la santé, même si c’est mauvais pour l’environnement. C’est comme ça, c’est la tradition !

Cette façon de faire n’est pas efficace, je vais trouver un autre moyen de le faire.

Voici le genre de phrase que j’aimerais entendre de la part de tous les employés du monde ! Que ce soit des employés de bureau, sur un chantier, peu importe. Nous avons tous des façons de travailler qui peuvent être améliorée. Au début que je faisais des formations, je mettais 5 jours pour faire une formation, puis 4 jours, et maintenant 2 jours.

Je peux du coup proposer des formations plus complètes, en moins de temps ! C’est bon pour tout le monde : mes clients qui ont plus de contenu, moi qui prend moins de temps, et mes affiliés qui peuvent vendre plus. C’est avec cette nouvelle méthode que j’ai pu créer mon pack de formation rapidement. Si je ne m’étais pas remis en question, ce pack aurait vu le jour dans quelques mois !

#15 – C’est déjà bien

Le loser se contentent de ce qu’il a, comme celui qui réussit. La différence, ce que le loser ne fait rien pour s’améliorer lui-même, et améliorer ses conditions de vie et ceux de ses proches. Se contenter de ce qu’on a c’est très bien, mais quand nos enfants veulent faire des études supérieures, c’est bien de pouvoir leur offrir. C’est bien d’avoir des projets de partir en vacances, de vouloir s’améliorer dans plein de domaine.

Je ne parle pas ici que de l’argent. Je parle d’un ensemble de choses, comme se former par exemple. Jim Rohn disait : « Les pauvres ont une grande télé, les riches ont une grande bibliothèque ». Ceux qui réussissent veulent toujours se former, apprendre de nouvelles choses, voyager pour découvrir de nouvelles cultures, de nouvelles langues.

C’est déjà bien, mais je veux savoir/faire/avoir/donner plus.

Celui qui réussi est content de ce qu’il a… il ne se contente pas de ce qu’il a, c’est ça la nuance. Il veut savoir un maximum de choses, il veut voyager partout où c’est possible, il veut avoir, mais il veut aussi donner. Parce que ceux qui réussissent sont généreux. Attention : quand je parle de ceux qui réussissent, je parle de gens qui se sont fait tout seul, pas ceux qui ont hérité.

Ceux qui ont hérité se contentent de ce qu’ils ont. En général, ils sont plus pauvre à la fin de leur vie qu’au début, parce qu’ils n’ont rien construit, ils ont juste dépensé l’argent des parents et des grands parents. Mais ceux qui ont réussi eux-même sont généreux avec eux-même, puis avec les autres. Pensez bien à ça : pensez à vous avant de penser aux autres. Charité bien ordonnée commence par soi-même !

Êtes-vous un perdant ?

En lisant cet article, vous vous êtes peut-être reconnu parfois. C’est normal, on a tous dit ce genre de phrases, même ceux qui ont réussi. Et ceux qui ont réussi ont eu une révélation qui a fait qu’ils ont arrêté de dire ces phrases, et ils se sont mis dans un état d’esprit de gagnant. Vous voulez savoir si vous êtes un loser ? Je vais vous le dire : Non !

Les losers sont partis au premier paragraphe. Ils se sont reconnu et se sont dit : c’est qui ce connard qui se permet de me juger ? Parce qu’ils se sont senti visé, alors que cet article ne vise personne. Au contraire, il permet de savoir ce qu’il faut éviter pour ne pas finir loser. Mais les perdants n’encaissent pas, c’est aussi à ça qu’on les reconnait. Ils préfèrent dire que c’est de la faute des autres.

Mais vous n’êtes pas un loser. Vous avez lu cet article jusqu’au bout, le plus long que je n’ai jamais écrit jusqu’à présent ! Plus de 5000 mots, quand les losers trouvent qu’un tweet est un peu trop long… Je ne sais pas ce que vous faites dans la vie, ni ce que vous voulez devenir, mais je suis sûr que vous réussirez !

Amicalement, David.

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